Non, le plug-in VOX PROTECT, travaillant sur votre éditeur sonore ou vidéo, ne peut pas
envoyer et ni transmettre les informations de l’audio original automatiquement.
De plus, le logiciel n’envoie aucune information sur les critères de protection choisis.
La responsabilité de la préservation des données sensibles reste donc à l’utilisateur du
logiciel.
Avec l’ère numérique, le processus d’inversion de la voix du témoin est devenu accessible à tous.
-Il est très facile de retrouver l’ensemble des interviews de témoins diffusés en TV, radio et l’ensemble des médias, en qualité numérique sur le net.
-Il est très facile de se procurer un pitch sur internet, sous licence gratuite et prêt à l’emploi.
La qualité numérique permet de garder une qualité identique à l’original en appliquant le
processus inverse et donc de retrouver la voix du témoin d’une façon parfaite.
Avec l’air numérique, l’enjeu de la reconnaissance vocale est essentiel pour de nombreux services.
Il est donc devenu très facile d’identifier une personne à partir d’un enregistrement audio.
Si vous n’appliquez pas une bonne protection de la voix du témoin, vous risquez de faire encourir des risques à votre témoin.
Non : les logiciels (plug-in) utilisés pour le trucage de voix sont tous totalement réversibles.
Au format plug-in, seul VOX PROTECT propose une solution dédiée à cette protection.
L’ensemble des solutions utilisées et proposées, à ce jour, ne protège en rien l’identification des témoins.
Par exemple : L’effet de « pitch », la solution la plus utilisée, est totalement réversible.
Par ailleurs, à l’ère du numérique, cette utilisation est devenue obsolète et dangereuse.
Il en est de même pour tous les logiciels qui intègrent la fonction de réversion de l’effet.
Il est clair qu’aujourd’hui la reconnaissance vocale est devenue un enjeu majeur.
Par exemple :
En France, le célèbre cas de l’affaire Jérome Cahuzac reconnu par le logiciel BATVOX montre
bien l’enjeu important sur la protection de la voix.
Nous précisons ici que la protection des témoins relève de plusieurs obligations légales dans
le monde, à titre indicatif et non exhaustif :
-Aux États-Unis, dans les années 1970, l’anonymisation des témoins est devenue obligatoire
à la suite du programme de démantèlement des organisations criminelles de type mafieux.
Voir ici
-En 2001, La France a renforcé la protection des témoins avec la la loi N° 2001-539, article
706-61.
Voir ici
-L’ensemble des recommandations mondiales se trouvent dans le rapport de l’ONU de 2009,
pages 8 à 16 :
Voir ici